Dromies Confinés

Bonjour à tous,

En ces périodes de confinement, nous vous proposons de mettre en ligne vos vidéos et photos sous-marines afin de les partager pour le plaisir de tous, en attendant de pouvoir à nouveau plonger ensemble !

Merci d’avance pour vos partages et pour se faire rien de plus simple, un petit courriel à conctact@dromies.fr avec soit un lien de téléchargement de vos photos et vidéos soit un lien permettant d’intégrer les éléments.

Merci d’avance.

Prenez bien soin de vous !

#restezalamaison


Bientôt

En attente d’une page spéciale dédiées aux nostalgiques et/ou aux curieux, vous pouvez déjà avoir un accès à l’ancien site internet des Dromies (lien provisoire*) pour y dénicher des images « d’avant ».

*Si vous obtenez un message d’erreur : restez dans la page d’erreur et cliquez dans la barre d’adresse, supprimez le « s » de « https », faites « enter » et ça devrait fonctionner.


Croisière aux Maldives (centre sud) – Février 2020*

Quand le rêve d’une vie de plongeur devient réalité ! Formidable expérience pour une première croisière (7 nuits) et voir si on peut conjurer le mal de mer. Par chance, la mer est toujours restée belle. Et finalement on se dit : mais pourquoi avoir attendu si longtemps pour profiter de cette magie !

*Voyage personnel


L’épave du Togo – Mai 2019

Cette épave en baie de Cavalaire est située à 15 min du port, sur un fond de 58 m environ. Seuls les plongeurs aguerris de niveau III minimum peuvent donc la visiter.

Le Togo (ou Ville de Valence) a sauté sur une mine à la fin de la première guerre mondiale. L’arrière du bateau est à environ 100 m au sud/sud-est de la partie principale, sur un fond proche de 70 m. Autant dire qu’il n’est guère conseillé de s’y aventurer, d’autant que cette partie est beaucoup moins intéressante que l’avant de l’épave.

Le Togo est posé droit sur un fond sableux et il n’y a pas de courant. Il est encore en excellent état, sans doute à cause de la profondeur, et la luminosité y est très correcte.

Sa caractéristique principale et sa renommée, ce sont les immenses et exceptionnelles gorgones bleues (ou rouges quand elles sont éclairées) qui peuplent toute l’épave et principalement ses flancs. L’eau est relativement claire et la faune est riche (mérous, congres, murènes, dentis, daurades, liches etc..).

Mais le temps de plongée est malheureusement toujours trop court … Avec la profondeur importante, il faut bien entendu prévoir et gérer sa plongée avec minutie.

Une bonne raison en tout cas de passer ses niveaux afin d’avoir un jour l’occasion de découvrir cette épave exceptionnelle.

Plongée personnelle (Michel et Maryse)


Beaumont – Mai 2019

Beaumont, une sortie « expérimentale » pour les Dromies dans ce lac/carrière, réhabilité par la FFESSM tout juste ouvert aux clubs.

Rien à dire, c’était pas mal. La visibilité est correcte et la température aussi, si on ne va pas trop profond. Bon, mais ceux qui rentraient de Théoule ont bien senti la différence de température.

On peut observer aussi un peu de vie. Ce n’est pas Port-Cros, bien entendu, mais pour une plongée très proche de Paris, on ne peut pas se plaindre. Je ne crois pas que quelqu’un se soit plaint d’ailleurs… Il faut noter que le soleil était au RV, le picnic fort sympa, le café très bon, et l’ambiance au top.

C’était notre première expérience dans ce genre de lieu, et on a découvert progressivement comment s’organiser avec les moyens du bord… Bref, du coup, j’ai un peu « détourné » les images. Rien de méchant ni de malicieux bien entendu, juste de quoi faire sourire…

*Montage réalisé par Michel


Epave de l’Espingole – Mai 2019

Encore une chouette épave à 20 min de navigation du port de Cavalaire. Là, ce n’est pas une mine qui a provoqué le naufrage, mais une grosse bêtise … Le navire de guerre (un contre-torpilleur) s’est aventuré beaucoup trop près du sec du Lardier, une roche affleurante pourtant archi connue.

Bon, le capitaine n’a certainement pas fait une longue carrière après cet accident… Le bateau a été ensuite remorqué pour essayer de l’amener au port de Cavalaire, mais cela s’est mal passé et il a fini par couler. Il se situe sur un fond de sable de 38 m, dans une eau généralement très claire et sans courant. L’épave très affaissée, n’est pas aussi belle que celle du Togo mais elle reste plaisante, la faune est plutôt riche et la plongée très calme.

Une plongée accessible aux N2 et qui vaut vraiment le coup.

Plongée personnelle (Michel et Maryse)


Epave du Prophète

Un peu plus éloignée du port que celles du Togo ou l’Espingole, l’épave du Prophète (ou des Chaudières) est encore accessible à partir de Cavalaire.

Construit en 1852 à Sète, le bateau repose par 34 mètres de fond à proximité du cap Lardier. Le bateau faisait 42 mètres de long et il a sombré le 28 mars 1860 par un très fort mistral alors que venant d’Algérie, il faisait route vers Marseille.

Le Prophète fut l’un des premiers navires à vapeur à propulsion mixte. L’analyse de sa machine a montré qu’il s’agit peut-être d’un modèle unique au monde.

L’épave est à ce jour en assez mauvais état, très abîmée. Mais la vue de la grande roue du volant d’inertie, la belle clarté de l’eau, la faune qui y est plutôt riche et la profondeur limitée font que cette épave vaut encore vraiment le coup d’être visitée.

Plongée personnelle (Michel et Maryse)


2018 Niolon


Aux Galapagos : croisière plongée fin 2015-début 2016

L’archipel des Galapagos est l’une des plus extraordinaires destinations en plongée au monde. Partis de Guayaquil en Equateur, nous avons navigué jusqu’aux Iles de Wolf et de Darwin pendant plusieurs jours. Ces deux gros rochers inhospitaliers, habités de milliers d’oiseaux, appartiennent au parc national.

L’isolement, les courants puissants et la très faible pollution favorisent la conservation de la faune sous-marine. Son abondance y est absolument ahurissante.

Wolf et Darwin se méritent : le voyage est long et les plongées souvent délicates, inadaptées en tout cas aux débutants. Plongeur N3 expérimenté au minimum.

Cette région a la biomasse la plus importante au monde. Les îles Cocos proches sont juste derrière avec la moitié de cette biomasse. La grande barrière de Corail n’en a que le dixième.

Il y a un nombre record d’espèces de requins dans la région : requins gris, requins pointe blanche, requins soyeux, requins marteaux, longimanus, tigres et bien d’autres. Les requins baleines y migrent chaque année, et certains y restent toute l’année comme aussi les requins marteaux.

Les îles Galápagos abritent un grand nombre d’espèces marines et terrestres qui ne peuvent être découvertes nulle part ailleurs et surtout en telle quantité.

Un souvenir inoubliable, tant sur l’eau que sur terre !!

Voyage personnel (Michel et Maryse)



Ploumanac’h, stage technique N2/N3 – 2014

Ploumanac’h c’est, pour les Dromies, un lieu de passage traditionnel de niveaux techniques. Niveaux II et niveaux III le plus souvent. Les raisons en sont multiples. D’abord c’est beau, vraiment très beau sur terre, mais également sous l’eau.

Ensuite, c’est assez facile. On peut partir du bord et atteindre facilement les 20 m, voire en poussant un peu les 40 m.

Et puis, ce n’est pas loin de Paris, les gens sont sympas et en moyenne, disons une fois sur deux, il fait beau, voire très beau.

Alors cette année-là, on était allé à Ploum avec le bateau du club, le Merkalm. Ce bateau, à vrai dire, c’est un peu le même esprit que Ploumanac’h : une fois sur deux, le moteur marche bien, vraiment bien. Et les autres fois, ce n’est pas extra, voire pas terrible du tout.

Donc cette fois-là, en réalité, du point de vue moteur ça a été la bérézina. Démarrages particulièrement difficiles, pannes en arrivant sur le lieu de plongée, remorquages pour rentrer au port… Dans le style « emmerdes », on a vraiment tout connu… En définitive, on n’a quasiment plongé que du bord. Le bateau a passé son temps en réparation. Je n’ai pas assez de place ici pour relater tous les événements qui se sont succédés, mais pour faire court disons que de ce point de vue « ça a merdé salement » …

Heureusement, on connait bien le départ du bord. Certes, après avoir galéré pour trouver une place de parking, il faut se payer 300 ou 400 m à pied avec le bloc sur le dos, des montées et des descentes et tout le toutim à trimbaler, et cela sous un soleil qui darde (ou parfois une pluie battante).

Mais après, y a plus qu’à nager et pas besoin d’attendre le démarrage poussif d’un vieux moteur deux temps récalcitrant. Presque que du bonheur !

Bref, en résumé, ce n’était pas facile. Mais grâce essentiellement à Maryse qui, du bord, valise de secours et oxygène à portée, scrutant l’infini de l’océan, jumelles aux poings et VHF à l’oreille, assurait une surveillance à la fois pointue et efficace, nous avons pu réaliser ce stage dans des conditions relativement acceptables.

Le montage présenté ici résume un peu toutes ces aventures…


3 Epaves au large de Noirmoutier – Sept. 2012

Plongée sur 3 épaves situées très au large de Noirmoutier.

Noirmoutier, c’est tout plat. Pour avoir de l’eau au niveau du nombril en partant de la plage, il faut nager facile, disons 500 m. Alors pour avoir 20 m de profondeur, imaginez… Bref, faut aller loin. Et donc les épaves en question elles sont vraiment très très loin.

Pas question de les faire s’il y a du vent ou de la mer. Dans le meilleur des cas, 30 à 50 min de trajet, peut-être davantage … En plus, elles ne sont pas indiquées sur les cartes ou mal. Pour les trouver, faut chercher sérieux… Bon, mais à force, avec l’aide du SHOM, du GPS et du sondeur, j’ai fini par y arriver.

Alors, résultat ? Ben franchement ça vaut le coup. Une vie vraiment exceptionnelle. Des poissons partout. L’eau n’est pas claire, c’est certain, mais c’est acceptable. Disons 3 à 5 m de visibilité. Comme c’est bourré de poissons, ça va. Je ne regrette pas du tout et j’y retournerais volontiers.

Par contre, ce qui est présenté ici, c’est une vidéo dont la définition est relativement basse. J’ai perdu les originaux (tournés avec une Gopro en 2k, je crois) suite au crash d’un disque dur.  Franchement dommage, car c’était pas mal du tout.

Quoiqu’il en soit, cela donne une idée. Et puis ma foi, rien n’empêche d’y retourner pour filmer à nouveau …

Plongée personnelle (Michel et Maryse)


Croisière « Emperor divers » « en 2006

On s’était décidé au dernier moment. On ne savait pas où plonger pour cette fin d’année 2006 et les voyagistes français ne proposaient rien du tout en mer rouge, comme toujours. Alors en consultant internet, j’ai fini par contacter « Emperor Divers », qui avait des commentaires élogieux sur certains groupes de discussion internationaux. Et ça l’a fait. Ils avaient de la place, et ils proposaient une croisière sur les sites les plus renommés de la partie sud de l’Egypte. Ça avait l’air clean, et on a conclu.

Alors, pour résumer, on n’a pas été déçu.

Bien sûr, la mer n’était pas calme, le vent soufflait assez fort le plus souvent, mais le bateau était top, l’équipage assurait, c’était confortable et l’organisation aussi. Franchement impeccable. Sérieux, bien fichu, à l’écoute … De vrais pros.

Evidemment, les Anglais qui géraient la structure ne connaissaient rien au foie gras qu’on avait amené… On s’est retrouvé avec du foie gras cuit au micro-onde … Mais bon, il y a pire.

En gros, la température extérieure, c’était le mois de mai en France. Donc pas de souci. Dans l’eau, c’était entre 22 et 24 °C. Donc ça va aussi.

On a pu faire tout ce qui était prévu et dans de bonnes conditions. La sécu était au top et sur le bateau, tout était nickel. Pour les plongées, c’était également très bien. Pas grand monde sur les sites, pas beaucoup de courant et des plongées la plupart du temps vraiment géniales. On n’a pas regretté. La faune et la flore, c’est à peu près ce qu’il y avait dans le nord de l’Egypte, 15 ou 20 ans avant. Riche, varié, coloré avec du petit et du gros. Tout ça à 5 h d’avion de Paris. Avec une eau aussi cristalline, voire plus claire qu’à d’autres endroits de la Mer Rouge.

Si vous avez l’occasion et si vous ne craignez pas le mal de mer, tentez !!

Voyage personnel (Michel et Maryse)


Sur la roche de la Catis, à St Cast – 2006 (probablement)

La plongée dite de « la Catis », c’est le must dans la région de St Cast. D’abord, l’eau y est relativement plus claire qu’ailleurs même s’il ne faut pas s’attendre à la visibilité de la méditerranée et encore moins à celle qu’on observe en mer rouge ou aux Galápagos … Mais ça vaut vraiment le coup.

Ensuite, il y a plein de poissons, mais vraiment plein… Des bancs de tacauds, de lieux, des vieilles en veux-tu en voilà. Et des homards, si tu es en manques, c’est là qu’il faut aller. Puis aussi des crabes, tourteaux ou araignées ou bien étrilles. Et encore des poissons plats, voire des raies pastenagues. Et en plus les grandes laminaires vers les 10/20 m, c’est un spectacle fascinant.

Non, c’est vraiment bien. Inoubliable.

On est ailleurs. Dans l’aventure et le sauvage.

Par contre, attention. C’est un sec au milieu de nulle part. Un rocher pointu dont le sommet est à 8/10 m en-dessous de la surface à marée basse. Et donc, ce n’est pas du tout protégé. Ni du vent, ni du courant. Plongée à l’étale obligatoire et plutôt à petits coefficients de marée, sinon vous allez visiter la manche…

J’ai filmé avec mon vieux camescope Sony de l’époque. Définition pas au top. Mais les Gopro n’existaient pas encore… Par contre, je connaissais bien. J’ai dû faire ce site une bonne vingtaine de fois. Du coup, ça ne rend pas si mal et ça donne quand même une bonne idée de la plongée.

Si vous avez l’occasion de plonger là-bas, foncez !!

Plongée personnelle (Michel et Maryse)


Séjour et Croisière Philippines 2006

Un séjour plongée organisé par l’agence suisse « ABYSS ». Ce n’est pas donné, mais c’est vrai que c’est tip top. J’avais lu plein de choses extraordinaires sur Tubbataha. Voici ce que dit wikipedia à ce sujet :

« Le récif de Tubbataha est un atoll récif corallien situé dans la mer de Sulu, à 98 milles nautiques (181 km) de la ville de Puerto Princesa, dans la province de Palawan aux Philippines. C’est un sanctuaire marin protégé…  Ajouté sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO en décembre 1993, le Parc est sous la protection du Département de défense nationale des Philippines…  Des garde-côtes philippins sont présents sur l’un des bancs de sable en permanence pour surveiller la région et protéger le parc des braconniers… On peut y trouver plus d’un millier d’espèces de poissons, dont certains en danger d’extinction. ».

J’avais lu sur le site « les bons et mauvais plans en plongée » (site qui par ailleurs a été malheureusement fermé en 2013), que sur cette destination, on pouvait tomber sur des structures locales particulièrement lamentables : sécurité inexistante, bateau vétuste et puant, incompétence des moniteurs et du chef de bord etc… C’est pourquoi, partir avec ABYSS nous avait semblé être le seul choix raisonnable.

Nous n’avons pas été déçus. L’organisation a été impeccable et les plongées sublimes.

Il y a parfois un peu de courant, mais globalement je dirais que les plongées sont plutôt faciles. On a commencé par un séjour à Busuenga, logés dans un bungalow sur une petite ile déserte d’où l’on partait pour les plongées. Dans cette zone, l’attrait ce sont les épaves qui datent du conflit Americano-Japonais à la fin de la seconde guerre mondiale. Ce sont des épaves de navire de guerre, généralement de très grande taille et en bon état de conservation.

La faune et la flore sont très riches même si la visibilité est correcte sans plus. Nous avons eu la chance rare de rencontrer vers les 30 m, un très gros requin baleine lors d’une de nos immersions. J’avoue l’avoir même touché… Ce n’est pas bien, je sais, mais c’était pour me dégager que je me suis appuyé sur lui et éviter ainsi de me faire prendre en sandwich entre la coque de l’épave et l’animal…

Ensuite Tubbataha, après quelques dizaines d’heures de navigation à partir de Puerto Princesa et à bord d’un très beau bateau de croisière. Là l’eau est limpide. La faune et la flore sont exceptionnelles. On y voit de tout, mais très souvent des requins et bien entendu des hordes de platax, de mérous, de lutjans, de gaterins, de poissons coffres et j’en passe… et souvent des tortues. Une destination parmi les plus belles. Dommage que je n’aie pas eu encore une Gopro à cette époque (les premières ont été commercialisées en 2005 mais je ne m’en suis acheté une qu’en 2007) …

Voyage personnel (Michel et Maryse)


Sortie club à Safaga (Egypte)


Croisière Guadeloupe 2004      

Une croisière fort sympathique en Guadeloupe qui nous a permis de plonger à Marie-Galante, en Dominique, aux Saintes et dans la réserve Cousteau. Nous avons également eu l’occasion de plonger en fin de séjour, sur une épave très récemment coulée (volontairement), l’ «Augustin Fresnel ». Donc pas de concrétions ni de vie fixée encore à cette époque et peu de poissons, mais l’impression de plonger sur un navire encore en état de marche… Assez inhabituel et amusant.

La croisière se passait sur un gros catamaran loué pour l’occasion. Au total, on était 3 clients pour deux membres d’équipage. Bref, on ne se marchait pas dessus…

C’était bien et reposant. Les plongées ne sont pas là-bas parmi les plus belles du monde, mais l’eau est claire et chaude et il y a raisonnablement des choses intéressantes à voir.

Un très bon souvenir…

 


Ploumanach, stage N2, N3 en 2003

Encore des images d’archives. Cette fois-ci, il s’agit d’un stage très orienté vers la technique. Il s’est déroulé pour l’essentiel aux 7 Iles près de Ploumanac’h. En plus de mon semi-rigide, nous disposions d’un autre bateau, généreusement prêté par le club du CEA de Saclay. Nous étions logés dans un camping un peu spartiate à Perros-Guirec et faisions nous-même nos repas (après avoir renoncé aux services d’un traiteur local qui s’était révélé totalement et irréversiblement nullissime).

La météo a été excellente pendant ce séjour (heureusement car sans ça, plonger aux 7 iles aurait été à exclure).

De très bons souvenirs.

Saint Mandrier 2003


Sortie Sanary/mer en 2002 des Dromies
(vidéo réalisée par Michel)

Bon cela ne nous rajeunit pas… Déjà 18 ans !! Une sortie plongée très sympa en tout cas qui a permis aux débutants de l’époque de faire leurs premières bulles et aux plus expérimentés de passer leur N2 ou leur N3. La météo n’avait pas été magnifique mais par bonheur le vent ne nous avait pas dérangé pour plonger. On retrouve sur cette vidéo quelques-uns des « anciens » qui continuent encore aujourd’hui à être actifs au sein du club et aussi d’autres qu’on a un peu perdus de vue.

Une vidéo d’archive sympathique …


Une série intéressante sur l’expédition Gombessa 5 (plusieurs épisodes à regarder) :

Pour voir toutes les expéditions Gombessa c’est par ici !